lundi 28 octobre 2013

Les Québécois acceptent trop souvent l'inacceptable

Gilles Duceppe, dans un article publié dans le Journal de Montréal le 7 janvier 2013 nous rappelle que, pour une nation dont la devise est Je me souviens,  nous avons parfois des comportements curieux.

Il nous rappelle qu'il a toujours dit qu'il est erroné de blâmer les autres pour les problèmes auxquels nous faisons face. Il rajoute: Cela ne veut pas dire de nous abstenir de critiquer les décisions...au contraire.  Cela signifie  de prendre acte qu'un gouvernement ( municipal, provincial ou fédéral) agit avant tout en fonction des intérêts de la majorité...Cessons donc de blâmer les autres et soyons assez fiers pour agir en majorité que nous sommes, en tout respect des minorités vivant au Québec.
 
S'exprimer comme majorité, dire ce que nous considérons juste, solidaire et équitable pour notre communauté. Un devoir de citoyen. Parler aux élus.
 
En tant que future mairesse, je m'engage à organiser des rencontres mensuelles informelles avec les robertois et les robertoises  dans le restaurant local de l'aéroport de Sorel-Tracy pour entendre les opinions, les suggestions et les commentaires des citoyens. Plusieurs maires en Montérégie tiennent ce genre de rencontre informelle. Et leurs citoyens apprécient, nous ont-ils informés lors d'une récente formation auquelle je participais.
 

1 commentaire:

  1. Accepter l'inacceptable, lorsque l'on peut infléchir une décision, c'est aussi être complice d'un «je m'enfoutisme».

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