dimanche 30 juin 2013

Nouvelles bénévoles nommées à la bibliothèque

A la séance ajournée du conseil municipal du 17 juin dernier, les élus nous ont annoncé que la responsable de la bibliothèque sera dorénavant madame Nathalie Cheyney, résidante du rang Bellevue, et les autres bénévoles qui l'aideront sont: mesdames Josée Mathieu et Hélène Gendron ainsi que monsieur Marcel Gaudet.  Bienvenues à ces nouveaux bénévoles à Saint-Robert.

Madame la responsable a débuté son essai le 12 juin dernier en compagnie de la conseillère qui l'assistait, madame Patricia Salvas. Cette dernière prévoit que le service de bibliothèque ne sera bientôt accessible que le samedi matin car en semaine, la nouvelle responsable est employée à temps complet dans une autre actvité.

J'y  suis allée le 26 juin, et madame Nathalie m'a précisé qu'elle aime la lecture depuis très longtemps, et qu'auparavant, elle était une habituée des librairies et non pas des bibliothèques.

Elle devra s'adapter sur le tas, comme elle le souligne.  L'ordinateur en service à la bibliothèque ne lui permettait pas encore l'accès aux dossiers des usagers.  Elle devait tout inscrire, emprunts et retours, dans un cahier, manuellement.

J'ai remarqué que, depuis la démission de madame Mariette Lamothe Latour, le 30 mai dernier, l'ordinateur de la bibliothèque ne fonctionne pas adéquatement.  Le 5 juin, c'était des enregistrements manuels aussi, et la nouvelle responsable me confirmait que c'était ainsi depuis.

Il y a sûrement des améliorations du service à apporter, et ce, rapidement, si on ne souhaite pas que les nouvelles bénévoles s'épuisent à exécuter des services avec des outils inappropriés.

Et j'espère aussi, pour ces personnes bénévoles, que l'indifférence et la violence ne seront pas les récompenses qu'elles recevront comme reconnaissance de leurs heures consacrées au service des usagers.

Fête basque: harmonies vocales joyeuses

Hier, au parc Regard-sur-le-Fleuve, plusieurs personnes provenant du Pays basque sont venues à notre rencontre pour nous offrir musiques et chants dans de belles harmonies vocales, masculines et féminines, de jeunes et de monis jeunes. Une belle représentation de générations intermêlées, belle à voir..

Des instrumentistes habiles  de musique, guitares, accordéon ornementé de dentelle de bois, percussions, tout y était présent pour nous permettre de bons moments musicaux dans un climat de fraternité universelle qui faisait du bien, en ce temps de bouleversements humains internationaux.

Ils venaient de Trois-Pistoles et repartaient ce matin, vers 4 h30.  Ils nous ont invité à assister à leur départ d'aujourd'hui.  Je ne sais s'il y a eu beaucoup de personnes assez matinales pour leur souhaiter un aurevoir sorelois.

Leur répertoire était composé de chansons basques, chansons françaises et québécoises.  Ils savaient nous séduire avec l'interprétation joyeuse de  la chanson des générations du groupe Mes Aieux, puis Le phoque en Alaska et Dimanche soir à Châteauguay, de l'auteur-compositeur et interprète Michel Rivard.

Ils nous invitaient à chanter avec eux, à frapper la rythmique.  Ils m'ont semblé heureux de notre participation et de notre accueil chaleureux et reconnaissant.

A la fin de leur prestation, ceux qui souhaitaient continuer à fraterniser et échanger , ont pu continuer la fête en se rassemblant à la micro-brasserie soreloise Le loup Rouge. Une équipe qui n'a pas peur d'être inventive. Une coopérative de travail comme il est rare d'en retrouver. Une formule d'affaires trop mal connue et qui pourrait être plus souvent envisagée dans notre monde de vive concurrence.

J'y ai rencontré une admiratrice de cette micro-brasserie, qui sera la mascotte de cet établissement, me dit-elle, lors du plus grand rassemblement brassicole au Québec, fondé en  2002,  durant la période du 30 août au 2 septembre prochain, au Parc du Fort-Chambly pour le festival Bières et Saveurs. 

Au plaisir de s'y retrouver nombreux.

mardi 25 juin 2013

Un risque pour les puits d'eau potable

Le Devoir de ce matin  nous résume une étude américaine sur les gaz de schiste dans le bassin Marcellus en Pennsylvanie.

Des chercheurs de l'Université Duke, en Caroline du Nord nous dévoilent que du méthane et du propane ont été trouvés dans l'eau puisée à moins d'un kilomètre des forages.

Sur 141 échantillons de l'analyse publiée par la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, la recherche avance que le méthane était 6 fois plus concentré et l'éthane, 23 fois, dans des résidences situées à moins d'un kilomètre d'un puits de gaz de schiste.

On a retrouvé le propane dans 10 échantillons. Toutes les données recueillies indiquent que le forage a altéré la qualité de l'eau potable de certaines résidences.

Qu'attendent donc nos élus provinciaux pour décréter le moratoire dont ils parlent depuis le 6 février dernier  sans passer  à l'action tant souhaitée par le Regroupement interrégional des gaz de schiste de la Vallée du Saint-Laurent qui oeuvre depuis trois ans pour être respecté dans ses revendications ?

Des avancées et des reculs, on connaît.  De l'action concertée, nous souhaitons. Le collectif de  scientifiques, de juristes et d'élus, piloté par monsieur Richard Langelier,  a demandé une rencontre avec le ministre Blanchet lors de la rencontre des coordonnateurs général, régional et interrégional rive-nord de la fin de semaine de notre Fête Nationale.
Il y a de nombreux bénévoles qui travaillent avec ardeur pour protéger nos eaux souterraines. Et nous, que faisont-nous pour les appuyer, les soutenir...

S'informer, c'est s'engager.

jeudi 20 juin 2013

Le 15 juin 2013: nos élus ont adopté des résolutions pour mieux protéger les eaux

Je viens de recevoir un document important de Dr Richard E. Langelier, juriste et sociologue. Je l'ai fait parvenir aussitôt, à la direction générale de notre municipalité ainsi qu'aux membres du comité de Saint-Robert, Saint-Aimé et Massueville et aussi à l'élue Patricia Salvas qui a représenté l'ensemble de nos élus lors de cette réunion à Saint-Bonaventure.

Cet envoi nous fournit les résolutions adoptées à la Conférence des éluEs municipaux et des scientifiques indépendants lors de leur séance de travail du 15 juin dernier.

Je vulgarise et simplifie ici. Sur demande, je pourrai vous faire parvenir les résolutions entières.

1. Que le projet de loi 37 soit retiré et remplacé par un décret fixant un moratoire jusqu'à ce qu'une preuve nettement prépondérante de l'innocuité du procédé d'extration soit établie.

 2. Que les articles 29-49 soit retirés du projet de Règlement sur le prélèvement des eaux et leur protection jusqu'à ce que des études indépendantes examinent la question de la fracturation et fassent des recommandations au gouvernement.

3. Que la période de consultation sur ce projet de règlement soit étendue pour permettre un débat démocratique, la période actuelle de 30 jours est nettement insuffisante.

4. Que la base des amendements à apporter à ce projet de règlement soit les suggestions des 185 éluEs municipaux proposées en février 2012:

. que les distances séparatrices entre les sources d'eau et les activités des sociétés gazières, minières et pétrolières soient de 2, 6 et 10 km en fonction de la nature de la source d'eau et du nombre de résidents desservis

. que les permis nécessaires soient accordés après consultations dans les communautés locales, pouvant se prononcer par référendum sur le projet, pour tout projet de développement se déroulant à l'extérieur du rayon de protection
. que le ministre refuse l'autorisation si la majorité des résidents participant au référendum s'oppose au projet, si 50 % des résidents habilités à voter ont participé au vote

. que le principe de compétence de la municipalité lui permette de régir tout projet et de disposer de la demande

. que si le gouvernement refuse de considérer ces demandes et promulgue son règlement malgré l'opposation de la population, que les municipalités intéressées présentent une demande conjointe, pour le le ministre Blanchet, et qu'il les autorise à maintenir les standards de protection des sources d'eau potables institués par le Règlement dit de Saint-Bonavanture et de ses diverses variantes (noter que Saint-Robert a adopté un tel règlement 377-2013 le 2 avril 2013 lors de l'assemblée mensuelle régulière, j'avais insisté dès janvier 2013 pour que Saint-Robert s'intéresse à ce règlement dit de Saint-Bonaventure). Sachons que 70 municipalités ont adopté un règlement semblable...

. que le ministre Blanchet accorde une entrevue au Collectif des 5 experts, et à ses fonctionnaires aussi, sur le libellé de ces propositions, ceci, avant la promulgation du règlement envisagé.


Je dois ici souligner la reconnaissance que tous  nos citoyens devraient avoir envers les membres du  Regroupement interrégional des gaz de schiste de la Vallée du Saint-Laurent, envers son coordonnateur, Serge Fortier,envers le juriste  Dr Richard E. Langelier et de nombreux autres bénévoles qui travaillent depuis 3 ans pour certains d'entre eux.

Certains, parmi ces bénévoles, travaillent plus de 25 heures par semaine pour nous aider à protéger nos eaux.  Chaque citoyen qui  lutte pour l'amélioration de la qualité de vie de  tous les autres concitoyens, pour une amélioration de notre communauté, mérite notre respect et notre encouragement.

mercredi 19 juin 2013

Politique de gestion des cours d'eau

Hier soir, à la salle communautaire de Saint-Robert, les membres du Comité d'élaboration de la Politique de gestion des cours d'eau ont reçu les commentaires et les suggestions de toutes les personnes intéressées à ce dossier.

Madame Marie-Hélène Trudel, coordonnatrice à la gestion des cours d'eau à la MRC Pierre-de-Saurel a présenté d'abord le double objectif de la politique proposée, le type  de cours d'eau qui sont sous la compétence exclusive de la MRC, les obligations imposées par la Loi sur les compétences municipales à la MRC selon les articles104, 105, 106, 107 et 108.  Elle a aussi énoncé le rôle des municipalités locales, celui de la MRC.  Les officiers responsables de la gestion des cours d'eau ont été énoncés.

Madame Trudel a expliqué les trois types de travaux dans un cours d'eau: ceux de nettoyage et d'enlèvement des obstructions et nuisances, ceux  d'entretien d'un cours d'eau et finalement ceux d'aménagement d'un cours d'eau.  Elle a fourni de nombreux exemples pour faire comprendre les distinctions entre chaque type de travaux.

Elle a abordé la section financement des travaux. Elle a fait aussi connaître le cheminement normal d'une demande d'intervention  et présenté les divers formululaires de demande formelle d'intervention dans un cours d'eau ou de diverses déclarations de conformité.

Toutes les personnes intéressées au dossier ont pu s'exprimer.  Parfois pour de simples questions, parfois pour des commentaires et suggestions.

En définitive, les frustrations des intervenants originaient souvent de la courte période (du 1er août au 1er octobre) permise pour réaliser les travaux dans l'ensemble des MRC de la Mont.érégie. Ce temps très restreint occasionne des pressions sur les entrepreneurs qui réalisent les travaux, et gênent les agriculteurs qui dénoncent les contraintes importantes que cela leur cause.

Madame Trudel s'exprimait avec facilité et semblait bien connaître son sujet de conférence. Mais pour modifier des directives originant d'une loi provinciale, il faudra que les élus fassent des pressions politiques auprès de leurs collègues provinciaux. Et c'est cela qui semblait la principale conclusion des nombreux intervenants intéressés.

Contrairement à la séance publique  du conseil de ville de Saint-Robert tenue le 4 mars 2013, le président  de la consultation d'hier et préfet de la MRC Pierre-de-Saurel, monsieur le maire Gilles Salvas, semblait porter du respect envers le travail de madame Trudel.

Ce 4 mars dernier, j'avais été désolée d'entendre les trop nombreux commentaires désobligeants énoncés par les élus et le personnel municipal de Saint-Robert relativement au travail de coordination de madame Marie-Hélène Trudel, et ce, en public et en son absence...

Hier soir, elle a su démontrer qu'elle était bien au courant de son sujet et que les élus auront plutôt des actions politiques à poser, au lieu de critiquer la messagère régionale. Il me semble qu'il aurait été opportun, ce 4 mars 2013, de conserver, pour nos élus robertois,  les commentaires négatifs pour leur réunion plénière et non pas d'aborder ces propos en séance publique.

En espérant qu'à l'avenir, nos élus et notre personnel municipal  respecteront mieux le personnel de la MRC lors des discussions  en réunion publique dans notre municipalité locale.


mardi 18 juin 2013

971 467,55 $: coût approximatif: toit de patinoire et rénovation du chalet de loisirs

Hier soir, à la séance d'information tenue au centre communautaire de Saint-Robert, le conseil municipal nous a fait une démonstration de l'état d'avancement du projet constitué de l'aménagement du toit sur la patinoire exérieure du parc J.A. Filion et de la rénovation du chalet de loisirs attenant, prévus depuis  la campagne électorale d'octobre 2009.

La décision finale ne pourra pas  être prise lors de l'assemblée ajournée, tel que prévu, se tenant aussitôt après la séance d'information , nous dit monsieur le maire, d'entrée de jeu, en commençant la séance publique.

Il y a encore un délai imprévu occasionné par l'attente de la confirmation provenant du gouvernement du Québec, qu'on prévoit recevoir très bientôt, en juin 2013.

Le projet de 21 portes de garage autour du toit , un peu semblable à  ceux établis à Val Alain, à Joliette, à Saint-Liboire, comme  exemples fournis à l'auditoire et que monsieur Gilles Salvas a déjà visités...

Le chalet des loisirs serait renové aussi, une salle d'eau pour personnes handicapées serait ajoutée  pour être conforme aux lois existantes (ce qui n'avait pas été prévu dans les plans originaux, comme si on ne connaissait pas les lois dès la proposition de 2009). Il y aura un passage menant à la patinoire afin que les patineurs, chaussés de patins, n'endommagent pas la tuile. Une deuxième porte sera ajoutée pour répondre aux normes de sécurité d'un tel lieu public (cet item aussi n'avait pas été prévu en 2009)... Je me demande qui conseillait en 2009 l'élaboration d'un tel projet sans connaître les lois pour ériger une telle installation récréative.... De l'improvisation, du tape-à l'oeil, ou un laxisme dans la prise de décision...

Le coût réel du soumissionnaire le plus bas est de  895 239.05 $, auquel il faut ajouter les travaux déjà payés pour les plans et devis de l'architecte  Jean Paré et des dessins pertinents qui s'ajoutent aux  études d'analyse du sol sous-jacent aux installations prévues pour un montant de  41 228.50 $ supplémentaire.

Le projet de la soumission sera complété par des nouveaux travaux d'asphalte, des bandes de patinoire, etc. pour un montant approximatif de 35 000 $ supplémentaire. Alors le montant indiqué en titre est le total de ces 3 montants annoncés hier soir par les membres de notre conseil  municipal.

Comme l'encaisse de la municipalité dépasse 800 000 $ au 31 décembre 2012, les élus prévoient y soutirer environ  400 000 $ pour attacher toutes les ficelles financières du projet.

Le conseil paraissait divisé sur ce projet. 3 d'entre eux préfèrent réfléchir encore avant d'accepter un tel projet, 3 autres élus sont favorables au projet tel que présenté au public, hier soir.

La décision devrait  être prise lors de la prochaine assemblée mensuelle publique de juillet 2013.  Comme le conseil est divisé moitié-moitié, alors le président du conseil, soit le maire Gilles Salvas, pourra utiliser son droit de veto et prendre la décision politique  unilatéralement.

Des citoyens ont demandé au maire, pourquoi ne consultez-vous pas la population avant de débourser un tel montant à partir des taxes payées par les citoyens et accumulées depuis de nombreuses années? Comme en d'autres occasions, quand l'auditoire pose une telle interrogation, le président et maire répond invariablement que, comme ils sont 7 élus, ils sont assez grands pour prendre leur décision eux-mêmes...

Des citoyens avancèrent aussi l'idée qu'il y aurait aussi d'autres projets qui pourraient  être intéressants, comme rénover le chalet sans implanter le toit sur la patinoire extérieure, d'autres avenues de services à apporter à la population...

Bref, comme la soumission est valide pour 45 jours, on presse la décision pour entrer à l'intérieur des délais.. .Monsieur le maire a remis une feuille à chaque citoyen présent pour faire connaître plus de 20 motifs pour aller de l'avant  avec le projet tel que présenté.

Il a même ajouté que le toit permettrait d'attirer de nouveaux résidents, qui permettraient de maintenir l'école, le bureau de poste, l'épicerie au centre du village, bref, le toit devenait nécessaire pour le développement de notre collectivité.

Le conseiller Joel Pelletier a fait remarquer que depuis 7 ou 8 ans, entre le 15 décembre et le 15 mars, la buvette dans le chalet ne fonctionne pas, mais que cette réparation d'environ 100 $ n'a jamais été octroyée...pour améliorer le confort dans le chalet....Les joueurs inscrits dans les ligues organisées diminuent d'année en année. Bien impliqué dans l'organisation du Carnaval de 2010 et 2011 avec le conseiller Germain Forcier, il déplore qu'un tel déboursé soit octroyé à un seul projet qui ne sera utilisé que par trop peu de citoyens ou de jours/année. Lors de leur organisation de 2010 et 2011, les profits ont été remis au trésor municipal, mais ils ont aussi souligné que la moitié des membres du conseil municipal n'avait pas acheté de billets pour participer aux activités offertes lors de ces rassemblements populaires pour développer le sentiment d'appartenance à notre communauté.

Des citoyens expriment leur volonté que le conseil mette le projet en marche, le plus rapidement possible,  de nombreux membres de la famille Salvas s'exprimèrent sur ce sujet.

Enfin, monsieur le maire a réitéré sa volonté de respecter les prix présentés durant cette séance d'information d'hier.

La démocratie s'exprimera avec les règles d'aujourd'hui. La démocratie s'exprimera aussi en novembre prochain. S'informer c'est s'engager.  La population présente à la soirée d'hier nous a démontré l'intérêt que plusieurs d'entre eux portent  aux décisions de leur gouvernement municipal.





Pension de sécurité de vieillesse reportable

A compter du 1er juillet 2013, il sera possible de reporter volontairement  la pension de sécurité de la vieillesse fédérale. Durant une période de 5 ans, donc, entre 65 et 70 ans, il sera donc possible de choisir le moment de recevoir cette prestation. Évidemment elles seront plus élevées à cause d'un rajustement actuariel. Pour chaque année de report, 7,2 % de hausse est prévue, soit 0,6 % par mois.

Si vous recevez cette pension depuis moins de 6 mois et que vous souhaitez obtenir un tel report, vous pouvez faire une demande d'annulation rétroactive. Si votre demande est acceptée, si les montants reçus (pension, supplément, allocation) sont remboursés dans un délai prévu, la demande de pension sera reputée n'avoir jamais été payée.

Ainsi, si vos revenus sont élévés entre 65 et 70 ans, vous pouvez avoir l'obligation de rembourser votre pension de vieillesse. Alors le report volontaire sera intéressant pour vous.

Dès que vos revenus seront diminués (l'année suivant un gain en capital occasionné par une disposition importante, par exemple) vous pourrez alors demander votre pension majorée.Toutefois, il faut planifier ces dispositions, et ne pas demander la pension dès que vous voyez poindre votre 65e anniversaire de naissance.

Une bonne planification fiscale des années de vieillesse deviendra aussi importante, dans certains cas, que la planification fiscale des années actives sur le marché du travail.

Il vaut toujours mieux prévenir que de guérir...

lundi 17 juin 2013

Kieve Antaya: une interprète de la chanson prodigieuse de 12 ans, soreloise

Hier, à 13 heures, la salle de la Maison des Gouverneurs de Sorel-Tracy était remplie pour assister au récital de la jeune Kieve, arrière-petite-fille de fervents robertois: Germaine Lemoine et Napoléon Leduc, de Saint-Robert. Petite-fille de Berthe Leduc et de Raymond Antaya et fille d'Alexande Antaya et Julie Turgeon. Une dynastie de souche robertoise, quoi. Nous avons des raisons d'en être fiers.

Elle a déjà remporté le prix coup de coeur du jury au Festival le Tremplin, aussi  le prix des jeunes de Secondaire en spectacle, participé au jeu musical On connaît la chanson, le 7 mars dernier à TVA.  Elle trace des pas qui laissent des empreintes lorsqu'elle chante.

Hier, elle a séduit la salle, a su établir un contact avec le public suffisamment intense pour entraîner les spectateurs à frapper dans les mains au même rythme que sa musique, elle a déclenché des applaudissements instantanés pendant qu'elle  chantait: Je t'aime, elle interprète antant les textes de langue française que de langue anglaise avec une diction très soignée.  On ne perd aucune parole des textes choisis. Elle possède le sens rythmique de manière étonnante.

Coiffée d'un chignon, chaussée de sandales, vêtue d'une robe mignonne, elle nous laissait apercevoir un bronzage impeccable d'une jeune fille en santé qui profite du plein air tout en  ayant travaillé  très fort pour mémoriser tous ses textes, chantés avec  une si belle interprétation très personnelle.  Elle ne répète pas, elle interprète comme seule une réelle chanteuse peut le faire.

Des Beatles à Adèle, de Paul Piché à Marie Mai, elle sait chanter des textes  tantôt coquins, tantôt profonds.  Elle a même ému aux larmes  les spectateurs dans une chanson rendant hommage à ses parents, grands-parents, qui ont le sens de la famille, précisa-t-elle.

Les enchaînements entre les chansons, toujours préparés tout en nous donnant parfois l'impression d'être improvisés, de belle qualité, de l'humour, de la complicité avec son public attentif, elle possède un talent extraordinaire.

Let it be, pièce des quatre britanniques célèbres que lui a fait découvrir son oncle Stéphane Antaya, complice guitariste accompagnateur pour ce spectacle, était tellement devenue personnalisée que j'ai eu peine à la reconnaître. Elle a aussi pris le temps de remercier la participation financière d'Alain Chalifoux, son mécène, qui lui permet de réaliser tous ses rêves d'interprète. Elle suit présentement des cours à Saint-Lambert avec la même coach que Ginette Reno et Jean-Pierre Ferland, c'est dire...

Des envoléees, des crescendo réussis à la perfection, des pianissimo, des forte, des diminuendo, tout était maîtrisé et exécuté avec les regards de complicité souvent échangés avec  la mère Julie, attentive et concentrée sur sa fille prodige.

Surdouée, musicienne dans la tête, le coeur et le corps, elle a déclaré en entrevue  au réseau de télévision TVA qu'elle ne voit pas d'autre carrière pour elle que la chanson. A voir sa performance d'hier, nous sommes aussi convaincus qu'elle qu'il y a une place pour son talent dans cet univers musical d'envergure.

Bravo à elle-même, à ses parents qui savent encourager leur jeune à poursuivre son rêve, à devenir ce qu'elle souhaite devenir, à travailler inlassablement pour toujours mériter la reconnaissance de son public, qui la suivra aussi au Festival régional de La Gibelotte en juillet prochain.

Le 21 juillet prochain, au même lieu, toujours à 13 hres, la Ville de Sorel-Tracy nous présentera Catherine Leduc, maintenant en solo mais autrefois du groupe Tricot Machine, vous vous souvenez de leurs chansons si joyeusement entraînantes ou intensément profondes qui savaient si bien nous mettre sur un modus vivendi de fraternité, d'amitié et  de joie de vivre. Elle est aussi une parente de Kiève Antaya qui l'ignore probablement.

Lors d'une manifestation à Bécancour contre la fracturation hydraulique des gaz de schiste, les parents de Catherine étaient présents, nous avons dîné avec eux et on a pu retrouver les liens familiaux avec les Leduc, de Saint-Robert. Des fils tissés par la généalogie qui se produiront successivement à la Maison des Gouverneurs de Sorel-Tracy. Soyons-y.

mardi 11 juin 2013

Gaz et pétrole de schiste: entre peu de mains


Le Devoir d'aujourd'hui, par l'Agence France-Presse, nous explique qu'une étude de l'Agence américaine d'informations sur l'Énergie (EIA), dépendante du ministère de l'Énergie, publiée lundi dernier, nous révèle que les ressources identifiées de pétrole de schiste (en dehors des États-Unis) sont concentrées majoritairement  en Russie, Chine, Argentine et Libye.

La place des États-Unis est juste en seconde place derrière la Russie.

En outre, les réserves de gaz de schiste (hors États-Unis) sont majoritairement en Chine, Argentine, Algérie, Canada et Mexique. Les États-Unis détiennent la quatrième place des réserves de ce gaz  estimées dans le monde.

Par les technologies combinées de la fracturation hydraulique et du forage à l'horizontale, l'or noir américain est produit à 29 % par le pétrole et le gaz de schiste.  Le gaz américain est produit à 40 % par ces mêmes technologies.

L'EIA fait aussi valoir que vu les différences dans le monde en termes de formations de schiste, d'un point de vue géologique et de celui des conditions au-dessus du sol, l'étendue de la rentabilité économique des ressources techniquement recouvrables n'est pas encore claire.

Alors qe le gouvernement québécois veut  autoriser l'exploration pétrolière sur l'île Anticosti, la population s'inquiète et le ministre de l'Environnement,  Yves-François Blanchet ne réussit pas à freiner la confusion. Selon un article du journal Le Devoir dans l'édition du  10 juin, Monsieur le ministre juge que les forages d'exploration sont intéressants. Il pense que les études du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE)  seront produites plus tard, soit  avant l'exploitation. Il pense aussi que les forages d'exploration permettront de recueillir des données scientifiques pour aider  à la prise de décision lumineuse.

Monsieur Amir  Khadir, député de Mercier, se demande si le gouvernement parle de forage avec fracturation quand il parle de forage d'exploration...dans l'île d'Anticosti. Même si la fracturation est dans un mode d'exploration, monsieur Khadir considère que cette fracturation est aussi dommageable et polluante pour nos eaux souterraines.

Le ministre Blanchet parle depuis quelques temps de permettre les forages selon la norme de 400 mètres de distance de la nappe phréatique. Aux États-Unis, on utilise plutôt la norme de 1 000 mètres de cette même nappe.

Le député Khadir propose plutôt de protéger les aquifères avec des normes sévères. Il ajoute: La question n'est pas de changer de pusher.  Que ce soit le pétrole d'Arabie, de l'Alberta ou d'Anticosti, c'est pareil, on reste dépendants du pétrole.

Il suggère que les  élus prennent des décisions pour favoriser la réduction de notre consommation de pétrole et créer plutôt des transports collectifs à partir d'énergies plus propres.






Parc A.-Pelletier et les déchets si nombreux

Je souhaite attirer l'attention sur les rebuts trop nombreux abandonnés sur le site de ce parc, au coeur de notre village, tout à côté de l'église paroissiale.

Chaque semaine, je ramasse plusieurs bouteilles de plastique trouées utilisées fréquemment pour consommer du hash que je jette dans la poubelle installée sur le site.

Tout près de ce parc, dans le stationnement municipal, d'autres bouteilles de ce genre jonchent le sol recouvert d'asphalte. Des restes de contenants alimentaires, des papiers, des condoms usagés, d'autres encore dans leur emballage neuf, bref, beaucoup d'éléments dont on pourrait aisément se passer dans les aires publiques.

Il n'y a pas de poubelle disponible dans la portion du stationnement qui reçoit régulièrement des automobilistes, des motocyclistes et des cyclistes en attente...qui consomment et dont on retrouve les nombreux contenants oubliés au sol.

Aussi des véhicules y demeurent stationnés pendant plusieurs jours sans se déplacer, et ce, depuis plusieurs mois. Peut-être les propriétaires en ont-ils obtenus l'autorisation?

Mais il serait probablement intéressant de favoriser un espace plus propre en encourageant les utilisateurs, et du parc, et du stationnement, à ramasser leurs rebuts et les porter à la poubelle de métal disponible.  Je continuerai à ramasser, quand je le peux, les rebuts et les disposer dans la poubelle, mais je souhaite que chaque concitoyen développe une fierté de conserver nos espaces publiques agréables à fréquenter.

vendredi 7 juin 2013

Marjorie Parent,robertoise, marraine du Salon littéraire de Saint-Ours

Sous la plume de Marilyne Champagne, on peut apprendre dans notre hebdo régional  que, lors du cinquième Salon littéraire jeunesse de Saint-Ours, les 1er et 2 juin derniers, une robertoise de mérite, 20 ans, jeune bédéiste habituée du concours, a participé à titre de marraine du salon. Elle s'oriente déjà vers des études en créations visuelles au CEGEP prochainement.

Depuis septembre dernier, quelques 20 élèves québécois, de 6 à 18 ans, planchent dans tous les styles littéraires pour faire valoir leur imagination créatrice et pouvoir nous présenter le fruit de leur labeur à Saint-Ours.

Pour savoir écrire, il faut avoir beaucoup lu d'abord... L'organisme L'Ardoise relie les oeuvres, ces dernières étaient aussi accessibles pour les visiteurs qui désiraient les acquérir... Quelle belle idée pour donner le goût de l'aventure littéraire, et peut-être une nouvelle Élise Turcotte pourrait sortir de cette jeunesse en effervescence, amoureuse des mots et des illustrations.



mercredi 5 juin 2013

Parc à chiens sorelois

Hier, invitée par ma voisine, je suis allée avec Rouki, mon chien préféré, visiter le parc à chiens de Sorel-Tracy, près du club de pétanque.

Quelle belle atmosphère j'y ai rencontrée. De nombreux propriétaires, tous heureux de voir leur animal préféré s'évader des contraintes d'une laisse, courir, socialiser, sentir les autres congénères, se corriger mutuellement, vivre, quoi.

Hier soir, j'ai pu dire qu'enfin, une vie de chien  peut être une vie bien agréable... hi hi hi...

De l'eau apportée par les amis, des bols disponibles, des sacs pour recueillir les fèces, tout était présent pour rendre nos amis joyeux, presque souriants...s'ils le pouvaient... ce serait si comique...

Alors j'ai pu voir de nombreux adultes, partageant leurs petits moments privilégiés avec leur bête, échangeant avec les autres propriétaires, une professionnelle d'entraînement canin qui distribuait des conseils pour faciliter les échanges, bref, une belle communauté d'amis de chiens.

Et ceci m'a conduite à penser que ce parc deviendra probablement une sorte de ciment social.  Quelle belle initiative, un peu comme dans les terrains de jeux que ma jeune enfant fréquentait avec sa maman et qui rassemblaient de nombreux parents, aussi amoureux de leurs enfants les uns que les autres et qui échangeaient et discutaient de méthodes éducatives ou des derniers potins sociaux à la mode...

Une manière de relaxer qui brise l'isolement et permet de belles rencontres... A recommander...

mardi 4 juin 2013

L'ancien immeuble G-String ne pourra opérer ni bar, ni spectacle de nudité ni loterie

Suite à la signature de 49 personnes, nombre se révélant au-dessus des 35 signatures nécessaires, ne favorisant pas la reconduction de certaines activités déjà opérées dans cet immeuble du chemin Saint-Robert, près de la route 132, il a été annoncé, hier soir, lors de la séance régulière du conseil municipal, que nos élus adoptaient à l'unanimité  le règlement résiduel 376-2013  qui modifie le réglement 356-2011.

Ainsi de nombreuses autres activités commerciales potentielles,  autres que celles citées en titre, seront probablement autorisées.

Il m'a semblé, hier soir, percevoir dans l'assistance un grand soulagement pour des personnes impliquées dans la bonne marche de l'adoption finale  de ce règlement résiduel.  Les résidences rapprochées de cet immeuble semblent vouloir maintenir  un climat de calme et de sérénité pour leur qualité de vie  et  leur choix de vivre  dans un contexte rural sain.


Inauguration prochaine des nouveaux locaux administratifs municipaux

On apprenait hier, à l'assemblée du conseil, que le budget de mise à niveau de l'ancien édifice servant antérieurement pour les services financiers locaux de la Caisse populaire Desjardins n'a pas été entièrement dépensé, soit le 30 000 $ budgété, pour rendre les locaux propres aux nouveaux usages de l'administration municipale.

On nous annonçait aussi qu'il y aura une journée d'inauguration prochainement afin de permettre aux citoyens de découvrir les nouveaux aménagements et que des bulles liquides seraient probablement servies...tout en maintenant les déboursés en deçà du budget alloué originalement...

Du même souffle, on prévoit aussi rafraîchir les nouveaux locaux du service de garde para-scolaire qui utiliseront les locaux laissés vacants par l'administration municipale depuis leur déménagement  à leur nouvelle adresse du 666 chemin Saint-Robert.  Un budget de 1 000 $ a été prévu pour obturer les imperfections des  murs, peindre les surfaces et installer crochets pour vêtements, tapis, etc...La conseillère Véronique Salvas est responsable de cette mise à niveau.

Adjudication du contrat pour ajout d'une toiture sur la patinoire...le 17 juin 2013

A la séance régulière du conseil municipal d'hier soir, on nous annonce l'ajournement de l'assemblée au 17 juin à 19 h.

A la lecture des résolutions de l'assemblée régulière du conseil municipal du 6 mai 2013, on remarque que l'ouverture des soumissions aura lieu le 5 juin, leur analyse et recommandations se feront le 8 juin et que l'approbation du conseil et l'adjudication du contrat se produiront le 17 juin 2013.

Le début des travaux pour l'ajout d'une toiture sur la patinoire et de la rénovation du chalet des loisirs est prévu pour le 19 août et la fin, pour le 30 novembre 2013.

Il est écrit qu'il a été résolu à l'unanimité de lancer l'appel d'offres  qui paraîtra le 14 mai, toutefois il est aussi précisé que m. Gilles Latour est contre...lors de sa demande de vote...

Le journal municipal Mon patelin, édition de juin 2013, ne souligne pas cette assemblée du 17 juin 2013.  Il serait étonnant qu'il y ait de nombreuses personnes pour entendre la nomination de l'adjudicataire de ce contrat tant attendu, annoncé depuis le 14 octobre 2009...

Annoncé  alors pour un total prévisible  de 600 000 $, les prévisions actuelles, selon l'assemblée publique du 4 mars 2013, dépassent le 1  000 000 $...( vous avez bien lu: 1 million de $).

Chaque citoyen sera alors heureux de connaître l'heureuse décision des élus pour adjuger ce contrat structurant pour nos loisirs futurs...

Nouvelle démission de la responsable de la bibliothèque

Alors qu'à la séance régulière du conseil municipal du 4 mars 2013 les élus avaient refusé à l'unanimité la démission écrite de madame Mariette Lamothe Latour qu'ils avaient reçue le 25 février, lue devant les citoyens présents,  en lui réitérant qu'elle demeurera responsable bénévole de la bibliothèque, qu'elle a tout  leur appui et l'autorité de jeter dehors, expulser tout citoyen indésirable (sic),  qu'elle pourrait demeurer responsable malgré un potentiel déménagement occasionné par la mise en vente, alors,  de sa résidence familiale par un courtier immobilier, voici qu'à la séance régulière du conseil d'hier, madame Latour renouvelle son avis de démission.  Et on ne parle plus, parmi les élus, de refus ...et on ne fait pas lecture de la dite lettre reçue le 30 mai 2013.

On nous annonce que le comptoir de prêt sera tenu, aux heures normales d'ouverture du mercredi, en soirée, par les conseillères Véronique Salvas, le 5 juin, et Patricia Salvas, le 12 juin.

Une feuille volante sera acheminée dans notre courrier prochainement, nous dit-on, pour  expliquer les nouveaux besoins d'une responsable et de bénévoles pour la bibliothèque municipale de Saint-Robert.

Il est plutôt comique qu'à l'heure de voir, dans nos hebdomadaires régionaux,  monsieur le préfet, notre maire, appuyer les améliorations à la bibliothèque de Saint-David, on se retrouve dans notre propre village en pénurie de personnel formé pour rendre le service de lecture facilement accessible à ses concitoyens.

Alors que j'avais déjà formulé mon intention d'obtenir la formation pour rendre ce service de prêt, dès février, bénévolement, à notre responsable de la bibliothèque et à notre conseillère responsable de ce dossier,  pour que la relève puisse être préparée en cas de rupture éventuelle dans le bassin de bénévoles, je n'ai pas obtenu de suivi à ce sujet... Même si, depuis l'été 2012, madame Latour avait ouvertement exprimé aux usagers la diminution de son intérêt pour ce bénévolat qui exigeait du temps et de l'abnégation...et peu de reconnaissance...

J'espère que la population répondra avec empressement à ce recrutement à venir...


Règlement du cimetière de la Fabrique de la Paroisse de Saint-Robert

Je viens d'avoir accès, par l'entremise du président de la Fabrique, monsieur Jacques Lemoine, au règlement du cimetière.  Je veux partager ici ma découverte de ce règlement approuvé le 21 janvier 1994, par l'évêque de Saint-Hyacinthe, monseigneur Louis Langevin.

Je présume ne pas être la seule catholique de notre paroisse qui ne connaissait pas l'existence de ce document.

Alors, dans la section Respect et bon ordre dans le cimetière, il est écrit: il est défendu de semer, planter ou transplanter des arbustes ou arbres, d'établir une haie, d'installer une grille ou des poteaux, avec ou sans chaînes, des bornes dépassant la surface du sol, sur ou autour ou en bordure des fosses ou des lots particuliers.  Il est également interdit d'y déposer tout contenant de quelque nature que ce soit.

Alors après avoir planté, la semaine dernière, les potées fleuries déposées par des membres de la famille devant la pierre tombale familiale à l'occasion de la fête des mères, je suis allée, hier,  aussitôt les retirer en prenant connaissance de ce règlement.

Je suggère que cette portion du réglement soit diffusé dans le bulletin d'information paroissial Le Vitrail afin que les paroissiens soient mieux informés et n'aient pas à défaire l'aménagement préparé, de bonne foi, par les familles en hommage à leurs défunts parents ou amis.

Depuis 1994, et encore si peu diffusé.. .Depuis 1995, année du décès de notre patriarche familial, je me préoccupais de planter et entretenir le lot vénéré... Tout en ne connaissant pas ce document fondateur du bon ordre... J'écris ce message pour éviter à d'autres personnes de  ressentir de la culpabilité inutilement, par ignorance d'un document officiel.