Des résidus de glyphosate dans des milliers de produits alimentaires chaque année

Plusieurs canadiens ne comprennent pas pourquoi Santé Canada, par l'intermédiaire de l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA), a annoncé le 19 juillet dernir vouloir augmenter les quantités de résidus du glyphosate permises dans des aliments tels que le blé, l'avoine et le son. Ces céréales se retrouvent souvent dans les céréales pour enfants, en plus des haricots secs, les lentilles, les pois et les noix, partie intégrante des aliments des végétariens et des végétaliens.

Le glyphosate est l'élément actif des produits Roundup, un herbicide contesté par des experts mondiaux et interdit dans plusieurs pays d'Europe dont l'Italie et l'Allemagne. De plus des villes au Québec et au Nouveau-Brunswick ont aussi interdit ce produit de Bayer "cancérigène probable" selon l'OMS en 2015.

Les normes actuelles du Canada sont plus strictes que les normes soumises à la consultation de l'ARLA. Même l'UPA reconnaît que cette consultation aurait une explication plus commerciale qu'agricole, puisque les producteurs du Québec "sont plutôt dans une démarche inverse", selon son président Marcel Groleau.

La consultation est en marche depuis le 6 mai et a été prolongée jusqu'au 3 septembre après avoir reçu plus d'un millier de commentaires. En 2017, Santé Canada avait reconduit l'homologation de l'herbicide  jusqu'en 2032, jugeant qu'il ne présentait "probablement pas de risque pour le cancer humain".  Le glyphosate est aussi exclu du système provincial de justification et de prescriptions agronomiques mis en place en 2018. Le glyphosate est le pesticide le plus vendu au Québec en 2019, date du plus récent bilan des ventes des pesticides. Il représente 54 % des ventes totales en milieu agricole et a atteint une quantité record de près de 1,9 million de kilogrammes en 2019. 

En outre, cette année, le Québec a reconnu le lien entre les pesticides et la maladie de Parkinson, et a ajouté cette maladie dans la liste des maladies professionnelles.

Alors que nos producteurs innovent actuellement dans leurs pratiques de gestion des terres et des troupeaux afin de réduire les intrants, surtout les pesticides. Santé Canada envoie un message contradictoire aux producteurs qui s'efforcent de produire des aliments de qualité avec moins de résidus des pesticides. Les écosystèmes devraient plutôt être encouragés qu'être réduits à s'appauvrir avec le temps par la destruction des composantes biologiques des sols, pourtant si essentielles à leur fertilité. 

Devant la consultation de l'ARLA, par principe de précaution,  l'Ordre des chimistes du Québec, l'Association des microbiologistes Québec et l'Association des biologistes du Québec sont inquiets et demandent à l'ARLA de reconsidérer sérieusement sa décision d'augmenter les limites maximales de résidus de glyphosate dans certains produits alimentaires.

Le site de l'association Victimes des pesticides du Québec permet de découvrir des études, des mémoires, des témoignages de femmes et d'hommes qui "sont montés au front" pour que les maladies liées à l'exposition aux pesticides soient reconnues comme des maladies professionnelles et pour que des pratiques de remplacement innovantes disponibles et à venir dans les secteurs de l'agriculture et de l'alimentation soient mises en place pour éliminer l'utilisation des pesticides.

(Source: article de Sarah R. Champagne et Lise Denis du 23 juillet, libre opinion de Monique Bisson et Pierre Carpentier (membres de Victimes des pesticides du Québec), le 21 juillet, et libre opinion de Michel Alsayegh, Marie-Christine Bellemare et Christian L. Jacob, chimiste, biologiste et microbiologiste, respectivement, toutes publications dans Le Devoir)

Journée mondiale des grands-parents et gens âgées

Aujourd'hui est la première édition de la première journée mondiale des grands-parents et des gens âgés. Ce sont ces personnes qui deviennent responsables de la transmission des valeurs humaines auprès des petits-enfants. Les grands-parents peuvent transmettre aussi l'amour inconditionnel, l'écoute et la bienveillance auprès de leurs petits-enfants et de leurs enfants.

Les gens âgés ont aussi besoin d'amour et de gratitude pour toute leur vie bonne passée à servir, aider, et aimer leurs enfants, même en des temps plus difficiles souvent. Nous vivons encore des temps difficiles à notre époque, toutefois nous avons souvent accès à des facilitateurs dans la vie moderne. Les tâches s'exécutent souvent plus rapidement, les outils et les équipements mécaniques ou électroniques permettent des actions plus efficaces et plus efficientes. La fatigue physique peut ainsi en être diminuée.

Souvenons-nous des gens âgés, car, si la chance nous prête vie longtemps, tous, nous deviendrons un jour ou l'autre des gens âgés, et peut-être même, si nous sommes privilégiés, des grands-parents.

La science et l'opposition citoyenne ont triomphé

Le gouvernement Legault rejette le projet GNL Québec prévu au Saguenay. Les experts du ministère fédéral de l'Environnement avait aussi conclu que le projet d'exporter du gaz naturel liquéfié pouvait nuire aux objectifs climatiques du Canada. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) avait conclu en mars de manière semblable.

Beaucoup de temps et d'énergie ont été perdus avec un tel projet polluant au lieu de proposer des projets de développement économique vert et juste, selon Ruba Ghazal. Depuis six ans, on développait ce projet finalement non autorisé, ce mercredi 21 juillet. Il aurait ajouté huit millions de tonnes de GES par année, soit comme 3,3 millions de véhicules de plus sur les routes canadiennes.

Même si le gouvernement Legault avait un préjugé favorable envers GNL Québec et la construction d'une usine de liquéfaction de gaz naturel au Saguenay, le mort du projet annule aussi la construction du gazoduc de 782 kilomètres qui devait alimenter cette usine avec du gaz naturel albertain, par une société dont les actionnaires sont américains.

Le ministre de l'environnement, Benoît Charette, admet que "les projets comme ceux-là, partour dans le monde, peinent de plus en plus à se qualifier et le financement est de plus en plus difficile à obtenir. Il y a une prise de conscience mondiale. " Le rapport d'analyse met aussi en évidence les risques du passage quotidien de gros méthaniers dans l'habitat essentiel du béluga du Saint-Laurent.

Maintenant c'est l'occasion d'implanter une réelle transition écologique: "en mettant de l'avant des projets de développement économique viable, respectueux de la nature et de notre santé", selon la déclaration commune d'Équiterre, Nature Québec, l'Association québécoise des médecins pour l'environnement et Greenpeace.

Saint-Robert a un excédent de 708 847 $ pour 2020

L'année 2020 fut une année spéciale pour tous. À Saint-Robert aussi, les mesures sanitaires et le confinement ont bouleversé nos activités habituelles. L'excédent de fonctionnement de la municipalité a été plus élevé que les autres années car plusieurs travaux n'ont pu être réalisés et des revenus gouvernementaux imprévus ou autres ont été encaissés. En 2019, l'excédent de fonctionnement était plutôt de 127 290 $, soit une augmentation plus de 556 %.

Les travaux des cours d'eau non réalisés prévus à 134 020 $, le camp de jour estival annulé, le non-remplacement de certains employés, les loisirs offerts diminués, le départ de l'inspecteur, les redevances pour les équipements sanitaires pour prévenir la COVID-19 au montant prévu par le Ministère des affaires municipales provincial de 93 493 $ sans nécessité de reddition de comptes, sont quelques éléments décrits par la direction municipale pour expliquer cet excédent extraordinaire.

(Source: les assemblées mensuelles du conseil municipal de novembre 2020 et de juillet 2021)

L'âgisme et le jeunisme sont installés à Saint-Robert

Selon les scientifiques, faire preuve d'âgisme, c'est véhiculer tout type de stéréotypes négatifs sur la personne âgée pouvant dans certains cas aller jusqu'au fait d'avoir des réactions hostiles à leur égard, ou à l'égard de la vieillesse.  C'est une forme de discrimination , de ségrégation ou de mépris fondées sur l'âge. Le jeunisme est le "pendant " inverse de l'âgisme, il correspond à la volonté de rester jeune  car vieillir n'est pas bien vu dans notre société. L'âge devient un facteur de discrimination le plus important, loin devant le sexe, l'origine ethnique ou la religion, selon Adam et al.  dans la revue de neuropsychologie  2013; 5 (1):4-8.

Au conseil municipal, quand il est question de la vitesse des automobilistes bien au-delà des vitesses permises sur nos routes rurales, monsieur le maire commente toujours de la même façon: ce sont les jeunes, les citoyens qui en sont témoins n'ont qu'à avertir la police pour souligner les fautifs et que leurs parents soient avertis. Quand il est interrogé, soit dans la presse écrite, soit pour un reportage radiophonique, il commente la fermeture du dépanneur du coin de la rue Principale et du Chemin de Saint-Robert,  fermé depuis novembre 2020, par le fait que la propriétaire était vieillissante et qu'il serait nécessaire que des jeunes personnes prennent la relève et rouvre à nouveau l'entreprise du dépanneur du village de Saint-Robert.

Cette discrimination dans les propos laisse penser que des élus font preuve facilement de jeunisme ou d'âgisme dans notre communauté. Il est temps d'en devenir conscients et de ne pas continuer inutilement à généraliser un comportement bienfaisant ou malfaisant à une catégorie de personnes en se basant sur l'âge des acteurs.

Québec répète que porter le masque a prouvé son efficacité

Pour lutter contre la COVID-19, le ministre de la Santé, Christian Dubé, et son ministère, redisent que le masque a fait ses preuves et que l'obligation de le porter est là jusqu'à nouvel ordre. Ceux qui refusent de se conformer et ne le porteront pas s'exposent à une amende. Tenant compte du variant Delta, "il n'est pas prévu de retirer le port du couvre-visage à court terme dans les lieux publics", précise une relationniste du ministère de la Santé à la journaliste Sarah R. Champagne. Les fines particules en suspension sont davantage concentrées entre quatre murs, car le virus se propage par aérosols dans les lieux publics.

Il n'est pas prévu "à court terme" d'assouplir cette mesure dans les lieux publics, selon le ministère de la Santé. À l'intérieur des domiciles privés, après être vacciné complètement par les deux doises, les personnes peuvent retirer leur masque. Sinon, il est fortement recommandé de continuer à porter un couvre-visage, si on se trouve à moins d'un mètre de distance d'une autre personne.

Toute personne ou tout commerçant qui ne respecte pas ces règles s'expose à des amendes cependant, conclut l'article de ce matin dans Le Devoir, sous la plume de madame Champagne.

Madame Andrée Laforest crée PRABAM, St-Robert détruirait l'ancien presbytère

Le programme de la ministre des Affaires municipales et de l'Habitation, le PRABAM, soit le Programme d'aide financière pour les bâtiments municipaux a été annoncé le 17 juin et nous a été divulgué lors du récent conseil municipal du 5 juillet. Monsieur le maire a partagé joyeusement cette annonce de madame Lamontagne (sic), il s'est perdu dans la nature entre la forêt et la montagne ! Pardonnez-lui. Il s'est seulement égaré un peu dans le paysage.

Ce soutien de 90 millions $ est offert aux municipalités de moins de 5 000 habitants. Plusieurs municipalités en région sont aux prises avec des besoins importants en investissement pour améliorer leurs infrastructures municipales et communautaires, selon l'UMQ.

Il faut se rappeler que l'Union des municipalités  du Québec (UMQ) avait déjà proposé dans son Plan de relance économique municipal l'an dernier de diversifier les cibles d'investissement des programmes d'infrastructures en élargissant les critères d'admissibilité pour les projets municipaux prévus aux plans triennaux d'immobilisations. Ce nouveau programme répond à cette demande, selon le maire de Gaspé, monsieur Daniel Côté.

Monsieur le maire de Saint-Robert nous a informé le 5 juillet que, s'il pouvait obtenir un financement provincial de 75 à 80 % d'une nouvelle construction municipale, il démolirait l'ancien presbytère devenu immeuble municipal depuis 1989. Ce bâtiment abrite présentement le service de garde parascolaire et est adjacent à la salle communautaire. La fabrique de la paroisse de Saint-Robert avait reçu 25 000 $ lors de cette disposition patrimoniale.

(Source: l'Union des municipalités du Québec)

Mesures sanitaires pour les lieux qui reçoivent des auditoires

Depuis le 12 juillet, le Québec a assoupli les règles sanitaires mises en place pour lutter contre la COVID-19. Tant à l'extérieur qu'à l'intérieur, la distance à préserver entre des personnes ayant des lieux de résidence différent est passé de deux mètres à un mètre.

Pour les activités à intensité élevée, comme les activités de chant, la distance de deux mètres reste requise, selon le ministère de la Santé. Pour les lieux qui reçoivent des auditoires avec des places assises, il faudra laisser un siège libre entre les personnes qui ne résident pas à la même adresse. Dans les espaces communs de ces lieux, il faut maintenir une distance d'un mètre.

Pour les activités où les spectateurs sont assis dans des estrades, le nombre de personnes admises est de 50 à l'intérieur et de 100 à l'extérieur.

Le port du couvre-visage demeure obligatoire dans les lieux publics, souligne Québec. Pour les activités privées de nature événementielle ou sociale dans une salle louée ou un lieu public, le nombre de personnes est limité à 25 personnes à l'intérieur et 50 à l'extérieur.

(Source: Le Devoir,  du 8 juillet dans un article de Lia Lévesque)

Désinformation de la direction municipale à Saint-Robert

Lors de la réunion mensuelle du conseil municipal du 5 juillet dernier, il y a eu une action de désinformation de la part de la direction municipale. Dans la porte d'entrée du centre communautaire où avait lieu la réunion, le soir où les citoyens avaient la possibilité d'y assister, selon les informations fournies par monsieur le maire lors de la séance de juin dernier, et selon une confirmation expresse demandée le jour même auprès de la direction municipale, on pouvait lire sur une feuille affichée dans la vitre que les réunions du conseil municipal étaient à huis clos. 

Je me demande pourquoi la direction municipale avait laissé cette information à la lecture des citoyens qui se présentaient pour assister à la réunion publique alors que ce n'était pas le cas en réalité. Depuis le 7 juin, la direction savait, tout comme les conseillers municipaux et monsieur le maire, que la réunion mensuelle suivante serait publique et que les citoyens pouvaient s'y présenter afin d'être bien informés.

Cette négligence ne démontre-t-elle pas une difficulté à démontrer un environnement transparent dans la gouvernance municipale ?

S'informer, c'est mieux comprendre le milieu dans lequel nous vivons.

Enregistrement d'une émission par CJSO à Saint-Robert

Lors de la récente assemblée du conseil municipal du 5 juillet, monsieur le maire avait invité la population à assister à l'enregistrement d'une émission mettant en vedette la municipalité de Saint-Robert qui sera diffusée à 12h15 mardi prochain le 13 juillet prochain. Une autre personne de CJSO maniait la caméra et on me disait que ce serait disponible sur les médias sociaux sorelois.

Monsieur Sylvain Rochon était le journaliste qui interrogeait quelques personnes de la municipalité. Monsieur le maire, messieurs Jean-Pierre Salvas et Benoît Lefebvre de La fromagerie polyethnique inc.de Saint-Robert, madame Picard, présidente par intérim de la FADOQ, monsieur Paul Caplette, agriculteur de semences de céréales Bellevue et monsieur Maurice Filion, citoyen  âgé de la municipalité ont généreusement tous répondu à l'invitation de monsieur le maire.

Une rencontre enrichissante où j'ai pu assister à quelques échanges informels entre citoyens robertois. Nous écouterons attentivement la diffusion de cette rencontre entre des acteurs robertois engagés dans leur communauté.

S'informer, c'est vital pour notre démocratie municipale.

Gare aux poules à Saint-Robert

Le 5 juillet, à l'assemblée mensuelle du conseil municipal, nous avons pu assister à la présentation d'un avis de motion et l'exposition du règlement 417-2021 concernant la garde des poules en milieu urbain. Pas si simple de garder des poules selon cette réglementation prévue.

Le maximum de poules autorisées deviendra au nombre de huit. Tout coq sera interdit. Une prohibition de vendre des oeufs, de la viande, du fumier ou autre activité reliée à la garde de poules devient réglementaire. Aucune enseigne ne sera autorisée faisant référence à la présence d'un élevage domestique ou l'annonçant.

Pour abattre une poule, il sera nécessaire que ce soit l'action d'un vétérinaire ou d'un abattoir agréé, que le propriétaire consomme ou non la viande de sa poule.  Quand l'éleveur cesse cette activité, les poules devront être remises à une ferme située en milieu agricole ou abattues selon le règlement.

Par terrain, un unique poulailler et un unique enclos extérieur seront exigés et les poules ne peuvent  jamais en sortir en liberté. Les dimensions maximales du poulailler et de l'enclos extérieur sont établies par règlement, ainsi que les matériaux autorisés. Les poules ne peuvent pas sortir du poulailler entre 20 h et 7 h.

Un permis de garde de poules au coût de 25 $ devra être délivré par le Service d'urbanisme de la municipalité.  Un plan d'implantation du poulailler et de son enclos extérieur à une échelle d'au plus 1: 500 accompagnera les renseignements et les documents requis pour la demande de permis.

S'il y a contravention à une disposition du règlement 417-2021, une infraction est commise et le particulier propriétaire est passible d'une amende de 500 $ à 1 000 $ lors d'une première infraction, et, lors d'une récidive, au cours de la même année, l'amende passera de 1 000 $ à 2 000 $.

Tout recours de nature civile ou pénale ou tout autre recours pourra être exercé par le conseil municipal afin de faire respecter les dispositions du règlement 417-2021.

Une telle règlementation n'équivaut-elle pas à un refus municipal de garder des poules à Saint-Robert, en pratique ? Notre ruralité se rapproche de plus en plus d'une urbanité, avec une telle réglementation.

(Source: présentation du règlement municipal 417-2021)

Admission en présentiel au conseil municipal

 Ce soir, le 5 juillet 2021, il est autorisé d'assister à la réunion mensuelle en présentiel à la salle communautaire de Saint-Robert. Avec un couvre-visage et avec une distanciation physique de deux mètres, la direction municipale vient de me confirmer l'accès autorisé aux citoyens, ce qui n'était plus autorisé depuis plusieurs mois déjà.

Le journal municipal n'indiquait pas les dates des réunions mensuelles de l'été, la page d'accueil du site web municipal fournit les dates des réunions pour l'année 2020, l'accueil aux assemblées du conseil municipal n'est pas facilité ainsi.

Comme l'inspecteur en bâtiment et en environnement a écrit à un citoyen qu'il y a une réglementation  qui est en préparation, il serait peut-être opportun d'aller se renseigner ce soir en assistant à la réunion mensuelle du conseil municipal.

S'informer, c'est aussi s'engager à connaître ce qui se passe dans notre municipalité.